Traduction de l’éditorial de la revue “El Keraza” du 21 Janvier 2000

 

L’Egypte nous l’aimons du fond du cœur, l’Egypte nous la chantons, l’Egypte source de notre fierté partout dans le monde.

Mais malheureusement, oui, on est en train de nuire à la renommée de notre beau pays qu’est l’Egypte ; dans les journaux, sur Internet, et à l’étranger aux agences de presse, leurs journaux, leurs radios. Quelle pitié ! Dommage ! …

Tout cela à cause d’un village de Haute Egypte, « El Kocheh » où la police locale a échoué de garder la paix, une affaire qui s’est mal terminée par une fin que certains ont appelée « massacre » et d’autres « boucherie » …

Nous tous, nous voulons résoudre le problème de El Kocheh, mais ce problème ci ne peut être résolu en essayant de le camoufler, ni en essayant de faire la balance, ni en transformant les victimes en coupable !!!

Personne ne peut raisonnablement admettre que pour justifier ces erreurs il faut commettre d’autres erreurs.

Et s’il est préférable de retrouver un climat de paix en apaisant les gens et de produire un climat de réconciliation, il faut avoir devant nos yeux ce principe :

La condition pour une réconciliation, est d’avouer et de reconnaître les faits.

Franchement, nous disons que cette méthode ; qui essaye de couvrir ou de cacher les faits de « El Kocheh », depuis un an et demi. Depuis Août 1998 on a innocenté les coupables, et accusé les blessés ; cette méthode a donné l’occasion de renouveler le problème de façon horrible puisque l’agression s’est transformée en meurtre…

Le bilan s’élève à vingt morts coptes sans compter les disparus, avec des dizaines de blessés. Sans compter les incendies, les dommages et le pillage des magasins coptes et des maisons brûlées ou calcinées.

Franchement, un massacre pareil serait il utile, et à qui ?

A quoi servirait de nuire à la renommée de l’Egypte dans les médias à l’étranger ?! Et inquiéter les églises de l’Occident qui lisent les articles sur ces massacres d’humains.

Et là nous nous demandons, est ce que les responsables locaux étaient bien à la hauteur ? Est-ce qu’ils ont bien traité ces problèmes et ces troubles avant que la situation ne s’aggrave pour devenir un crime de grande ampleur ?

Le rôle principal de la police est d’empêcher les crimes, et dans le cas où elle en serait incapable, elle doit pouvoir avoir la situation en main pour limiter les zones de troubles avant que ce désordre ne gagne d’autres terrains. Et ici une question se pose : est-ce que la police a bien assuré son rôle et son devoir ?

Nous avons une confiance envers les responsables du Caire, mais le problème est bien avec les responsables qui se trouvent à l’endroit même des faits.

Au début, nous ne voulons pas parler, mais après avoir lu dans les journaux des articles qui ne disent pas la vérité, écrits par des personnes qui n’ont pas vu de leurs propres yeux ce qui c’était réellement passé sur les lieux du drame, nous avons jugé utile de donner l’occasion au public de connaître les faits par des témoins oculaires en qui nous avons confiance, et qui ont vu et enregistré les faits.

 

 

L’enchaînement des faits :

 

Nous allons ensemble exposer les faits, et nous y verrons plus clair :

Le problème a commencé par une discussion chaude entre un commerçant et un client, le vendredi 31 décembre 1999 à la veille du nouvel an. Jusque ici on aurait pu contrôler la situation, il n’y avait ni dommages ni meurtres.

Mais à partir de 23 heures le vendredi jusqu’au samedi 1er Janvier 10 heures, les magasins des coptes du village ont été attaqués, cassés, pillés et volés et leurs maisons brûlées.

Où était la police pendant ce temps là ? Etait elle dans un petit village « El Kocheh » qui est bien pour être une zone critique et qui a besoin d’une plus grande attention ?!

A partir du dimanche 2 Janvier 2000 et jusqu’au lundi matin commencent les tueries, le nombre des tués accroît pour atteindre vingt morts dont deux brûlés après avoir été tués.

Les coptes étaient terrifiés à l’intérieur des maisons, ils ne pouvaient sortir à l’extérieur, ils ne pouvaient même pas ouvrir les fenêtres, bref ils ne se sentaient pas du tout en sécurité… Dans tout cela, la police n’a joué aucun rôle et pour les policiers qui étaient présents, on les a tous concentrés dans des endroits loin de ces scènes. Les coptes bien sûr étaient sans aucune défense, tandis qu’on entendait bien l’écho des fusillades dans la région.

Ce dimanche, on a appelé le Pape Chenouda III qui était au monastère.

Un accord a été conclu pour envoyer deux évêques ; Monseigneur Sarabamone, supérieur du monastère de Amba Bichoï, et Monseigneur Marcos, évêque de Shobra El Kheima, le brigadier en chef Atef Abou Shadi les accompagnait. Et effectivement ils ont pris l’avion pour se diriger sur les lieux afin de calmer le village.

D’autre part, on a envoyé une voiture blindée pour transporter les prêtres qui ne pouvaient pas quitter leurs maisons. Le calme avait commencé à gagner le village, provisoirement. Les prêtres n’avaient pas encore vu les lieux du crime.

Les tués :

Les deux évêques avec le colonel Atef Abou Shadi sont allés sur les lieux pour voir les tués, il y avait onze morts dans les maisons, huit dans les champs et un cadavre découvert plus tard.

C’était horrible, avec les huit tués dans les champs, il y avait un blessé qui saignait qui se nommait Morcos Rouchdi Guendi. Les tueurs étaient partis pensant qu’il était mort, Monseigneur Sarabamone a crié : comment laisser ce blessé saigner à mort sans rien faire pour le sauver ?! Alors le brigadier en chef a répondu à sa demande et a ordonné d’appeler une ambulance pour le transporter à l’hôpital. En attendant ils lui ont demandé le nom des tueurs, il a répondu que c’étaient Khalaf Abou El Kassem et Khalifa Refai Sadek qui ont tué les huit morts et frappé le blessé, dans les huttes.

Parmi les huit tués, il y avait une petite fille qui s’appelait Maissoun Ayad Fahmy dont le visage a été défiguré, avant sa mort, le frère de celle-ci avait été à l’église le dimanche et il servit la messe en tant que diacre, et en revenant pour chercher sa sœur dans les champs, on l’a fusillé lui aussi.

Parlons des tués et des blessés dans les maisons, chaque cas est une histoire ou un drame, drames qui ont fait pleurer plusieurs des policiers qui accompagnaient les deux évêques.

Parmi eux Mamdouh Noshi Sadek qu’ils ont tué et brûlé devant sa femme Manal Zarif, puis ils ont pris la femme avec eux et l’ont obligé à signer un chèque de cinquante milles livres égyptiennes (équivalents à cent milles francs français en 2000 soit quinze milles euros environ), et ils ne l’ont relâchée qu’après que les policiers se soient propagés dans le village. Cette femme a révélée quatre noms de criminels : Tarek Charaf El Din Youssef, son frere Yasser, Assem Abou El Fadl Abou El Kassem et Assem Nassr El Din Youssef.

Les deux évêques ont vu les traces de la fusillade et le sang dans les maisons des tués…

Parmi les tués Atef Ezzat Zaki, ils l’ont attaqué à coups de couteaux dans la poitrine devant sa mère Samiha Hafez El Sayeh qui a raconté ce qu’ils ont fait à son fils avant de le prendre en otage, elle accuse les fils de Sayed Armout et d’autres.

Plus tard le cadavre de ce dernier a été retrouvé brûlé sur un tas de roseaux. Devant les enquêteurs la mère a reconnu le fils grâce à une bague qu’il portait à la main, elle a ensuite reconnu les tueurs.

Tout cela a été découvert, les responsables ne voulaient pas le dévoiler. Monsieur le préfet lorsqu’il a rencontré les deux évêques a dit que le bilan était de cinq morts, tandis que le bilan était de vingt morts outre les blessés.

 

Les blesses :

Quand aux blessés, nous avons relevé les noms de plusieurs dizaines de personnes. Ces listes ont été présentées aux responsables de l’Etat.

Parmi ces noms, Nabil Sami Seif, commerçant grossiste de denrées alimentaires, il a été frappé, et on a brûlé ses magasins et ses entrepôts. Le bilan s’élève à 150 mille livres égyptiennes de perte (environ 300 mille francs français soit environ 45 mille euros). Il a pu dénoncé les noms des accusés devant le procureur.

Parmi les blessés, Morcos Ouchdi Guendi, qui a reconnu les tueurs, le colonel Atef Abou Chadi et Aquid Mahmoud Sakr l’ont bien écouté.

Parmi les blessés, Manal Zarif Fares, épouse du martyr Mamdouch Noshi Sadek, tué (comme précité).

Parmi les blessés par coup de feu : Achraf Halim Stephanos dans son épaule gauche, Morcos Shenouda Gureiss dans sa jambe et Kordi Reik Izhak dans sa poitrine.

 

Ont subi des prejudices :

Mounir Azmi Lawendi : propriétaire d’un magasin de mobiliers qui a été sacagé, une carte d’identité n°22085 au nom de Gaber Abdel el Ghani Abd Allah fait à Dar el Salam a été trouvée dans le magasin, cette carte d’identité a été remis officiellement au procureur, ceci a été prouvé dans un procès verbal.

Personnes dont les maisons ont été brûlées :

  • Mamdouh Noshi Sadek
  • Nagueh Hosni Eskaros
  • Sami Seif Meawed
  • Ayad Seif Meawed

Des boules de feu ont été jetées dans les maisons de :

  • Moussa Fakhri Ghali
  • Abdel Nous Chahid Seifeine
  • Méléka Farouk Labib

Maurice Helmi Shaker, électricien d’automobiles, son garage a été complètement dévasté et brûlé après avoir volé tout le matériel, les outils et les machines.

Nabil Guerguess Bébaoui, forgeron, son atelier a été complètement détruit après avoir volé tout ce qu’il y avait.

Menan Dabouss Heineine, propriétaire d’un magasin de photographie, qui a été complètement détruit, une machine servant à la photographie a été volée, ce magasin ne peut être utilisé de nouveau.

Rafaat Sourial Gayed, commerçant de ferrailles, la porte de l’entrepôt a été forcée et toute la ferraille volée…

Mounir Khresto Nached et son frère Mikhail Khresto Nached, commerçant de denrées, la porte de leur entrepôt a été forcée et tout le stock volé.

Trois commerçants de tissus, Sourial Helmi Seifeine, Youhanna Seifeine Tanious, Bernaba Chahid Kediss, ont trouvé tout le stock de leurs magasins volés.

El Dabee Ateya Shenouda, tailleur couturier, n’a retrouvé dans son magasin ni la machine à coudre, ni les tissus des clients, même ceux qui étaient déjà préparés pour la couture et n’ont pas été terminés.

Salah Naguib Guayed, on lui a détruit la voiture et la porte de la maison.

Naguib Moussa Issa, propriétaire d’une épicerie, toute les marchandises ont été volées au magasin et dans sa maison.

Plusieurs maisons ont été attaqués à coups de pierres, citons par exemple les maisons de Ayad Guad Hanna, Chamchoun Mikhail Salib, Bebawi Guerguess Bebawi.

Des magasins ont été attaqués, le super marché de Milad Wasfi Ateya, le magasin d’accessoires de voitures de Achraf Youssef Ephraim, l’entrepôt d’engrais chimiques de Moussa Fekry a été brûlé.

Nous nous contentons de ces quelques exemples pour montrer différentes formes de dégâts, de pillages et de saccages du gagne pain des gens et de la terreur semée partout dans le village.

Et là nous nous posons cette question : où était la police du vendredi soir au lundi matin ?!

 

Le représentant du pape attaqué :

Sa Sainteté le Pape a envoyé son secrétaire, l’évêque Youanass, pour le représenter aux funérailles et pour prier en l’honneur de leurs pures et saintes âmes. Mais on n’aurait jamais imaginé ce qui s’est passé ; ils ont arrêté en plein chemin l’évêque pour le fouiller et fouiller la voiture pensant qu’il était venu pour approvisionner les chrétiens en armes ! Ensuite ils ont écarté le chauffeur et quelqu’un a pris sa place ! Et finalement ils se sont emparés de Monseigneur Youaness pour aller dans un endroit inconnu, quoiqu’il ait tenté de les rassurer calmement. Et ce n’est que tardivement que la Police est intervenu pour sauver l’évêque d’entre leurs mains.

L’évêque a pu ainsi faire les prières des funérailles avec d’autres évêques des régions avoisinantes qui sont venus spécialement à cette occasion.

La procession des funérailles était digne et respectable, les hommes portant les cercueils de leurs morts. Sur les maisons, les chrétiens avaient mis des rideaux noirs qui pendaient aux balcons et aux fenêtres. Tout le monde pleurait même les prêtres et curés de paroisse ainsi que certains des policiers tant l’émotion était grande.

 

 

Les provocations et les rumeurs :

En voici un exemple, cette personne de la mosquée déclarait « Oh ! Musulmans, faites attention, les coptes veulent empoisonner l’eau pour vous tuer », le préfet a bien entendu ce qu’a dit cette personne, il a prétendu l’avoir frappé et s’est contenté de celle punition et l’a laissé tranquille.

Si cette personne faisait partie de ceux qui ont provoqué l’émeute, nous ne sommes pas de dire si elle a été arrêtée !?

Une autre rumeur disait que les chrétiens auraient tué des musulmans, incitant les musulmans à se venger… Cette rumeur a circulé pendant que les chrétiens étaient enfermés dans leurs maisons, terrifiés après avoir vécu les tueries et les pillages…

Personne n’est venu calmer les esprits pour effacer la provocation qui était le résultat de ces rumeurs. Ceci prouve une absence totale des autorités, c’est l’anarchie qui régnait et qui avait le pouvoir.

L’incident auquel s’était exposé Monseigneur Youanas n’était il pas le résultat de ces rumeurs !

Les rumeurs qui ont pu arriver jusqu’aux oreilles des journalistes au Caire ont fait l’objet d’articles sans que ces derniers ne puissent vérifier ni les faits ni écouter les différentes parties des affrontements.

D’autres rumeurs concernaient certains prêtres.

Sa Sainteté le Pape était en contact de façon continue avec le ministère de l’Intérieur, afin d’échanger opinion et avis sur les décisions à prendre dans cette situation qui se dégradait.

La situation se dégrade :

Il nous faut montrer ; au début il y eu querelle verbale, puis ont commencé les attaques des maisons, des magasins, le pillage, les incendies et les dégâts, ensuite c’est la tuerie qui commence où l’on brûle quelques uns des tués, tout ceci dans un climat trouble, de tumulte causé par des coupables non chrétiens et un climat de terreur dans le cœur des victimes.

Ajoutant à tout cela, cette violence s’est propagée en partant de ce village EL KOCHEH aux villages voisins comme le village « Awlad Touk Chark », le village de « Awlad Tok Gharb », « Nagée Moussa » et également d’autres. L’église de Saint Georges située dans le village de « Awlad Touk » a été pillée et détruite, la terreur a régné parmi les coptes puisque les criminels attaquaient, endommageaient, pillaient, tuaient en toute tranquillité sans avoir le moindre doute ni la moindre peur de se faire arrêter ou d’en être empêché !

Le calme et la réconciliation :

Enfin, et au quatrième jour du début de la violence, le lundi soir, on a dit que le calme régnait et que la police a pu maîtriser la situation.

Il se peut qu’il y ait eu un climat de calme extérieur, mais au fond du cœur il n’y a pas de paix avec le sang versé d’une vingtaine de personnes.

Dieu a dit à Caïn, premier tueur sur terre, « Qu’as-tu fait ! Ecoute le sang de ton frère crier vers moi du sol ! » Genèse 4 :10

Une vraie réconciliation – autre que de pure forme – ne peut avoir lieu que lorsque la justice aura pris le dessus et que l’on tienne compte du sang versé et des massacres.

Excusez les cœurs blessés si le chagrin les fait crier et pleurer, ne les accusez pas, nous nous rappelons une phrase qu’a dit le grand militant Saad Zaghloul : Il y a une catégorie de personnes qui en voyant un attaquant qui frappe et un attaqué qui pleure, disent a l’attaqué de ne pas pleurer dans dire à l’attaquant de ne pas frapper !

Puisse l’Egypte vivre dans la sécurité et la prospérité.

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